Voltaire, Candide, ch. 6, un apologue ironique
- Le 28/01/2018
- Dans Commentaires EAF, français
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Commentaire sur Candide, ch. 6, les portées critiques et philosophiques
- Extrait du chapitre 6, Candide. Voltaire
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Le devoir intégralement corrigé fait 3 pages word, il comprend une introduction développée, trois parties avec plusieurs arguments chacune et des transitions, une conclusion avec ouverture.
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TexteAprès le tremblement de terre qui avait détruit les trois quarts de Lisbonne, les sages du pays n’avaient pas trouvé un moyen plus efficace pour prévenir une ruine totale que de donner au peuple un bel auto-da-fé ; il était décidé par l’université de Coimbre que le spectacle de quelques personnes brulées à petit feu, en grande cérémonie, est un secret infaillible pour empêcher la terre de trembler.....la mitre et le san-benito de Candide étaient peints de flammes renversées et de diables qui n’avaient ni queues ni griffes ; mais les diables de Pangloss portaient griffes et queues, et les flammes étaient droites. Ils marchèrent en procession ainsi vêtus, et entendirent un sermon très pathétique, suivi d’une belle musique en faux-bourdon. Candide fut fessé en cadence, pendant qu’on chantait ; le Biscayen et les deux homes qui n’avaient point voulu manger de lard furent brulés, et Pangloss fut pendu, quoique ce ne soit pas la coutume.
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Analyse : Extrait du ch. 6 de Candide: L'auto-da-fé
INTRODUCTION
I/UN RECIT SOUS FORME D'APOLOGUE
Transition
II/ LES ANTIPHRASES AU SERVICE DE L'IRONIE
Transition
III/PORTEE PHILOSOPHIQUE ET ENJEUX CRITIQUES DE L'EXTRAIT
Conclusion avec ouverture
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