Tristan L'Hermite, les plaintes d'Acante, Sur un tombeau, Douleur du poète face à la mort et l'amour triomphant
Les plaintes d’Acante : Tristan l’Hermite, 1601 - 1655
«Sur un tombeau», 1633
Le corrigé fait trois pages word police 14, il comprend la lecture du poème, une introduction, une problématique, un développement en deux parties avec une transition, une conclusion et une ouverture.
Problématique :
En quoi ce sonnet suit-il le mouvement baroque ?
Lecture du poème :
- Celle dont la dépouille en ce marbre est enclose
- Fut le digne sujet de mes saintes amours.
- Las! Depuis qu’elle y dort, jamais je ne repose,
- Et s’il faut en veillant que j’y songe toujours;
- Ce fut une si rare et si parfaite chose
- Qu’on ne peut la dépeindre avec l’humain discours;
- Elle passa pourtant de même qu’une rose,
- Et sa beauté plus vive eut des termes plus courts.
- La mort qui par mes pleurs ne fut point divertie
- Enleva de mes bras cette chère partie
- D’un agréable tout qu’avait fait l’amitié.
- Mais, ô divin esprit qui gouvernais mon âme,
- La parque n’a coupé notre fil qu’à moitié,
- Car je meurs en ta cendre et tu vis dans ma flamme;
Extrait du commentaire :
nous pouvons souligner le ressort du baroque avec le raffinement de la langue, la clarté du vocabulaire, la nombreuse présence de figure de style...
Plan de l'étude :
- Lecture du poème
- Introduction
- Problématique
- Développement
- Douleur du poète face à la mort.
- Transition
- L’amour triomphant de la mort.
- Conclusion
- Ouverture
Les plaintes d’Acante, Tristan l’Hermite, 1601 - 1655, «Sur un tombeau», commentaire
- Par prepabac
- Le 22/10/2012
- Dans Commentaires français
Douleur du poète face à la mort.
- Autre étude de Tristan L'Hermite :
- les vers Héroiques : commentaire et préparation de l'entretien
- Le commentaire
- L'oral EAF
Pour aller plus loin : consultez les documents du site
Date de dernière mise à jour : 10/11/2018